Choisir un lieu pour ses paysages, ses gens, ses usines.
Choisir ce qui est bon pour soi, et permettre à d’autres de faire le même choix.
Vivre sereinement et orienter la société.
On s’émerveille des villages de nos ancêtres, de leurs imbrications, de leurs commodités, de leur âme. De la proximité de l’église et du café, des lieux de travail (ferme, ferronnerie, sabotier…) et des lieux de vie.
Et nous construisons des pavillons éloignés de tout pour notre quotidien, en visitant avec nostalgie les musées de la vie d’antan.
De cette vie passée, nous pouvons garder ce qui nous semble bien : une certaine dépendance, le lien, la proximité, et travailler pour améliorer ce qui n’était jusqu’alors pas une préoccupation : l’intimité, la liberté, la possibilité de choisir.
Et si choisir en conscience son habitat permettait de participer à la transition ?
Chez Atticora, nous pensons que cela commence par le choix de diminuer le coût énergétique global de nos besoins fondamentaux, non substituables.
De la fabrication à l’usage, mais aussi de la naissance du matériau de base à sa fin de vie.
De l’intention, on est passé à l’action.
Le diagnostic est fait. Les solutions existent. Tous les congrès, les COP, les Grenelles ont été faits, dit. Il ne sert plus à rien de se réunir pour se mettre d’accord sur des objectifs que nous ne tiendrons pas.
Nous vous proposons de nous retrousser les manches et de réaliser les objectifs déjà fixés.
L’habitat est un équilibre entre un espace intime protégé, rassurant, sécurisant et un espace ouvert, créateur de lien, accessible. Techniquement, tout est possible, mais il nous faut faire des arbitrages entre des besoins plutôt opposés.
Nous avons fait le choix de l’habitat en hameau, en village. Ou la mitoyenneté peut générer des espaces sonores et visuels indépendants, mais aussi une proximité qui invite à la rencontre.
Nous avons fait le choix de diminuer le nombre de mètres carrés privatifs, pour augmenter en proportion celui des communs.
Le commun, notre ciment social, à rebours d’une pseudo-indépendance qui nous isole.
Il est question de notre habitat, de nos lieux de vie.
Parce que nous vivons dans une société où tout est possible. Nous pouvons choisir.
Choisir d’habiter en utilisant, puis en transmettant. Sans posséder.
L’habitat est au cœur de notre organisation en société.
Faire évoluer notre manière d’habiter, c’est faire évoluer notre société.
En France, le droit au logement est accessible aux statuts de locataire (40 %) ou de propriétaire (60 %).
L’entreprise AtticorA ouvre une troisième voie pour le statut de l’habitant à travers une organisation économique qui place l’intérêt collectif en son cœur.
En désolidarisant le capital du bâti, AtticorA propose une alternative qui conjugue sécurité de l’épargne, simplicité et mobilité pour l’habitant.
Ce statut prend naissance dans l’idée qu’il est possible d’acquérir la valeur d’un logement, sans qu’il soit nécessaire de le posséder.
Il devient alors possible d’épargner et de se constituer un patrimoine, tout en préservant sa mobilité.
Ce nouveau statut favorise l’utilisation plutôt que la possession, et l’épargne plutôt que la dette.
Habitant associé, c’est la souplesse du locataire, sans la perte de ses loyers.
Habitant associé, c’est la sécurité de son logement sans le souci de sa maintenance.
Habitant associé, c’est transmettre son héritage sans faire hériter d’un fardeau.
Habitant associé, c’est pouvoir changer de maison sans changer la maison.
Habitant associé, c’est la raison de l’épargne sans la déraison de la spéculation.
Être habitant associé, c’est souscrire une garantie que votre argent est utilisé où vous le voulez.
Être habitant associé, c’est souscrire une garantie que votre argent est utilisé comme vous le voulez.
Être habitant associé, c’est souscrire une garantie que vous en êtes le garant.
Habitant associé, c’est convertir ses économies dans l’économie.
Habitant associé, c’est le moyen de mettre ses convictions en actions.
Habitant associé, c’est la possibilité de faire confiance en faisant confiance à son jugement.
Habitant associé, c’est un droit à l’usage sans user de ce droit.
Habitant associé, c’est accepter l’idée que : mieux, ne veut pas dire plus cher.
Pour l’audacieux : être habitant associé c’est une promesse du « mieux vivre ensemble ».
Pour le raisonnable : être habitant associé, c’est investir dans le sobre qui sera le luxe de demain.
Pour le calculateur : être habitant associé, c’est investir sans prendre le risque de s’investir.
Pour AtticorA : être habitant associé d’aujourd’hui, c’est le locataire d’hier et le propriétaire de demain.
Etre habitant associé c’est faire le choix d’habiter
en épargnant et non en s’endettant.
Mettre en commun la buanderie, c’est optimiser de manière drastique la consommation d’eau et d’énergie pour chacun, et l’espace dédié à cet usage dans l’habitat. C’est aussi un espace de rencontre régulier.
Mettre en commun des chambres d’amis, c’est permettre un usage fréquent de cette chambre qui ne sert que quelques fois par an pour accueillir nos hôtes de passage.
C’est l’hôtel, mais en bas de chez soi. Et un peu son hôtel à soi.
C’est ainsi diminuer franchement le nombre de mètres carrés dont on a besoin au quotidien.
Que peut-on mutualiser d’autre sans y perdre en qualité de vie, voire en y gagnant ?
De l’utile : buanderie, chaufferie, bains collectifs, espaces de travail, chambres d’amis partagées, jardins…
… à l’agréable : café associatif, espace commun type salle de danse, de yoga, musique ou cirque.
Et pourquoi pas, mettre en commun nos voitures en autopartage, pour que nos “transports en commun” retrouvent souplesse, confort et flexibilité ?
Et tout ce qu’il reste à inventer.
Il y a des réponses techniques, il y a des réponses humaines, sociales et financières.
Participer à la transition c’est aussi faire le choix de faire croître toutes les activités non consommatrices d’énergie, au premier chef desquelles se situe le lien.
Le lien humain, celui qui nous permet de créer, d’aimer, de comprendre.
Qui ne coûte rien. Qui rapporte tant.
Habiter dans un hameau H₂O c’est faire le choix d’un habitat sobre, beau, lumineux et économe en énergie.
C’est le préambule.
C’est aussi faire le choix de vivre dans une ville ou un village de taille humaine.
C’est faire le choix de vivre à proximité des autres, où une certaine dépendance nous oblige à créer des rencontres.
C’est faire un choix individuel qui sert le collectif.
Vous voulez des intérieurs naturellement lumineux sans avoir à payer une facture de chauffage ahurissante.
Vous voulez des intérieurs où il fait bon vivre, sans être agressés par des aménagements anguleux, ou ennuyés par de mornes surfaces planes.
Vous voulez pouvoir promener vos pieds nus sans qu’ils se fassent mordre par un carrelage glacé.
Nous avons fait le choix de ne pas vous emmurer derrière des barrières opaques, même végétales.
AtticorA privilégie l’ouverture sur les grands espaces tout en respectant votre intimité.
Le choix des matériaux permet d’assurer un air de bonne qualité dans nos maisons : du béton végétal pour ses propriétés isolantes et hygrothermiques, des bois non traités, des enduits intérieurs à la terre ou à la chaux, du carrelage grès et du plancher massif. Plutôt que de ventiler de l’air pollué (COV, peintures, colles …), nous avons fait le choix de ne pas utiliser de composants toxiques dans nos intérieurs.
Loin des villas posées au milieu d’une pelouse et entourées de hauts murs, nous intégrons nos habitats dans leur environnement.
Orientation, forme, aménagements extérieurs permettent d’être tranquille tout en étant au cœur du hameau, du village ou de la ville où vous souhaitez vivre.
Notre habitat est le reflet de notre mode de vie.
Nous voulons tous des choses belles, vivre dans un lieu douillet.
Nous ne voulons pas passer des heures à entretenir pelouse et extérieurs.
Nous voulons être aussi bien le week-end que la semaine dans notre maison.
La maison AtticorA concilie douceur et fonctionnalité, espace et vue, équilibre entre intérieur et extérieur.Pour que nous puissions vivre, tout simplement.
Comment ça marche ?
Dans le cadre d’un contrat d’habitation avec la Société d’Intérêt Collectif (SCIC), l’habitant épargne chaque mois une partie de son loyer dans l’acquisition de parts sociales de la SCIC.
La propriété de ces parts sociales lui ouvre droit à l’usage de son logement.
Un usage plein et entier du logement est acquis par la souscription d’un montant de parts sociales égal à la valeur du logement utilisé.
Le financement des activités d’étude et de réalisation de ces constructions d’un très faible impact environnemental est assuré solidairement par l’épargne des associés de la SCIC. Qu’ils soient épargnants, investisseurs ou habitants tous y trouvent un intérêt.